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Le remplacement : « un sport d’équipe »

Actuellement, AGRIHOMME compte 25 agents en CDI, 70 salariés dont environ 45 équivalents temps plein © AGRIHOMME
Actuellement, AGRIHOMME compte 25 agents en CDI, 70 salariés dont environ 45 équivalents temps plein © AGRIHOMME

Pascal Noel est responsable d’AGRIHOMME et Kévin Deconne chargé de développement de la structure. Ils reviennent aujourd’hui sur l’actualité de la société.

AGRIHOMME a constitué une réserve de main d’œuvre pour pouvoir répondre le plus rapidement possible aux besoins de remplacement des exploitants agricoles. Avec l’augmentation des demandes, l’équipe s’est agrandie mais reste ouverte aux candidatures.

Un large panel de services disponibles 7 jours sur 7

AGRIHOMME propose des interventions sur les exploitations agricoles. Leur durée peut aller d’une demi-journée jusqu’à une année complète en fonction des motifs explique Pascal Noel : «la mission des agents de remplacement consiste à remplacer dans les exploitations agricoles, les agriculteurs qui souhaitent partir en congés ou autre ou qui sont contraints de quitter l’exploitation pour différentes causes (accidents, maladies, décès.) En cas d’accident nous sommes souvent le deuxième coup de fil après les pompiers. Nous sommes disponibles 7 jours sur 7, 24h/24. C’est un peu la marque de fabrique d’AGRIHOMME, nous sommes capables de répondre quasiment immédiatement pour des remplacements en urgence. Le complément de main d’œuvre a un double objectif : il nous permet d’avoir une réserve d’agent pour pouvoir les mobiliser sur les urgences et cela nous a permis de contractualiser 25 CDI.»

En plus de rester attentif à maintenir une ressource en main d’œuvre suffisante, il faut aussi savoir proposer le profil le plus adapté aux besoins de l’agriculteur. «Globalement, nos équipes, Kévin et Emilie connaissent les exploitations, la demande des agriculteurs et cela nous permet de gérer les affinités quand c’est possible mais surtout les compétences. Nous faisons tout pour limiter au maximum la casse matérielle et les accidents. Le bon remplacement c’est le remplacement que l’agriculteur veut.» «Notre métier c’est aussi de nous adapter, de mettre l’agent qui correspond aux besoins de tel ou tel éleveur. Nous savons qui placer au bon moment» confirme Kévin Deconne.