Cette année, comme la précédente, l’AG de la MFR-CFR de Gugnécourt s’est tenue dans des circonstances particulières. Afin de respecter au mieux le protocole sanitaire, élus, partenaires, formateurs, administrateurs et anciens élèves venus témoigner, se sont retrouvés pour une partie en présentiel, pour l’autre en virtuel.
En ce début d’année, le vendredi 25 février, la MFR-CFR de Gugnécourt tenait sa 32e Assemblée Générale. L’occasion pour les membres de l’association de faire le bilan de l’année passée et de préparer les nombreux projets qui seront portés par celle en cours.
AG 2022
Cette édition a été ouverte par la lecture du rapport moral de Delphine Ouger, présidente de l’association. Ce dernier abordait les grands défis rencontrés par la maison dans un contexte sanitaire contraignant. Mais pas uniquement. «Se déplacer, se nourrir, se loger, s’habiller, se soigner» ou encore «comment communiquer, éduquer ?» C’est tout l’écosystème du «monde d’après» que les membres de la MFR-CFR de Gugnécourt ont été amené à repenser.
L’année scolaire 2021-2022 marque un tournant dans l’histoire de la MFR-CFR de Gugnécourt. En effet, cette année «la maison a été poussée dans ses réflexions tant par la certification QUALIOPI et la labellisation RSO LUCIE 26000.» C’est aussi la première année où le «Projet 1000» était appliqué. Ce projet, «permet par une politique tarifaire inédite, l'accès du plus grand nombre à nos formations, tout en affichant une volonté de renfort de l’équipe salariée» a rappelé Philippe Fringand, trésorier de l’association. Le «Projet 1000» réfère au prix de scolarité demandé aux familles «soit un peu moins de 1000 € aux élèves de 2nde et 1ère Bac, 1000 € aux élèves de Terminale Bac Pro et BTSA et 1500 € aux stagiaires de BTS ESF (non financés par la subvention).» Une mesure qui entend allier qualité et accessibilité de l’enseignement pour tous.
Cette année, ils sont 154 apprenants à bénéficier de l’enseignement et de l’accompagnement de la MFR-CFR de Gugnécourt. 93 d’entre eux sont en formation initiale, 9 sont stagiaires de la formation continue et enfin 52 de ces élèves sont apprentis. Un nombre de contrats d’apprentissage qui a doublé par rapport à l’année précédente ; changement expliqué en partie par les mesures gouvernementales favorisant ce type de formation. Des anciens élèves des différentes filières ont d’ailleurs pris la parole en visioconférence pour témoigner des atouts que leur avait procuré leur formation.
